Amener sur scène des personnes qui ne maîtrisent pas parfaitement la langue française brise le carcan scolaire des cours de français, permet de dépasser le handicap linguistique, et offre une forme de reconnaissance essentielle pour le statut d’opprimé qui est celui des demandeurs d’asile et des réfugiés politiques ou économiques, avec ou sans papiers, qui vivent dans la précarité économique et sociale.

Sa démarche et son retour d’expérience seront une source d’inspiration pour la proposition que nous soumettrons à la direction du nouveau Centre Ouvert pour les demandeurs d’asile.

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